Rencontre avec Maîtresse Tichka

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il y a 8 ans

Rencontre avec Maîtresse Tichka

La belle Tichka faisait partie depuis quelques temps de ma vie. Nous nous étions rencontré sur un forum d'internet consacré au Sm et nous continuions à échanger nos phantasmes par ce moyen sans savoir que nous habitions la même région. Ce n'est qu'au bout de plusieurs mois que l'idée de nous rencontrer réellement germa dans nos esprits.

Quelques échanges de photos, nous permit de nous connaître physiquement et d'être dans une "pré relation" ou les choses devaient être claires, précises, sans mensonge !!!!

Originaire de Prague, elle avait rejoint la France depuis maintenant plusieurs années et avouait avoir beaucoup de mal à vivre seule depuis que son mari avait décidé de la quitter, ne souhaitant plus continuer à vivre ensemble une relation physique ou il devait jouer douze mois par an, le rôle du mari dominé .

Elle avait finit par m'expliquer que depuis sa plus tendre e n f a n c e elle avait une attirance irrésistible pour le Sm et la domination des hommes et que les innombrables fessées reçues par son père, l'avait certainement poussée dans cette voie dont elle était maintenant sa propre prisonnière. Elle ne pouvait concevoir des rapports sexuels qu'après avoir dominé un homme. C'était sa façon de se libérer de son lourd passée de soumise. Une sorte de thérapie par la vengeance, sur des hommes consentants qui cependant n'étaient nullement fautifs des sévices endurés pendant sa jeunesse.

Tichka, avait été claire avec moi:

  • Si nous devons nous rencontrer, sache bien qu'avant que tu puisses prendre possession de mon corps, tu devras par avance t'engager à subir mes phantasmes et à te laisser dominer jusqu'à ce que je décide de t'accorder la récompense de mon corps.

Pour fixer nos limites respectives, elle m'assurait qu'elle s'engageait à s'arrêter sur une simple demande de ma part. La contrepartie serait que si c'était moi qui lui demandait de stopper, bien évidement, il serait hors de question de faire l'amour avec elle.

Acceptant à l'avance de subir fessées, bondages et domination, Tichka m'avait proposé de la rejoindre en semaine chez elle. Elle habitait au Cap d'Agde et il ne me fallut pas plus de 50 minutes pour me retrouvé devant sa villa, appuyant sur la sonnette avec un léger sentiment d'angoisse devant ce rendez vous avec une inconnue.

Elle louait une villa moderne dans un lotissement situé à seulement dix minutes à pied de la plage. Lorsque la porte s'ouvrit au deuxième coup de sonnette, j'avais en face de moi une ravissante blonde au cheveux mi-longs, une grande bouche au lèvres fines qui me gratifiaient d'une superbe sourire de nature à instaurer entre nous une relation de confiance bien rassurante.

Je pénétrait dans le salon de la villa, en même temps que Tichka, se présentait à moi dans un français tout à fait remarquable.

  • Pour commencer et que les choses soient biens claires entre nous, aucune relations sexuelles envisageables, tu devras baisser les yeux en permanence, ne pas m'adresser la parole et me faire signe de la tête pour oui ou non. Au moindre mot de ta part sans mon autorisation, nous stoppons immédiatement et définitivement nos relations. Si tu es d'accord fait moi un signe de la tête, sinon, fait immédiatement demi-tour. Si tu veux arrêter car tu ne supporte plus ton traitement, un simple "Stop" de ta part et nous nous en tiendrons à ce que je viens de te dire. Est ce d'accord ?

Un très court temps de réflexion et je lui fit signe "Oui" de la tête en prenant bien garde de baisser les yeux pour ne pas croiser son regard.

Pour tester ta résistance, je vais en premier lieu te rougir les fesses avec le martinet du chien. Si tu résistes à ce traitement sans broncher, nous pouvons envisager de continuer ensemble. Enlève chaussures, chaussettes et pantalon. Je veux te voir dans une minute à genoux sur mon lit, tête dans l'oreiller et les fesses bien exposées.

Je la suivais dans la chambre. Une fois devant le grand lit qui me faisait face, j'ôtais une partie de mes vêtements et comme elle me l'avait ordonné, je m'installais sur le lit, en caleçon et tee-shirt, à genoux jambes serrées en ayant bien prit soin d'enfoncer ma tête au plus profond du confortable oreiller en plume d'oies. Je n'avais plus qu'à attendre la suite des évènements.

Tichka m'avait laissé m'installer en silence, sans prononcer le moindre mot. Comme m'a position semblait lui convenir, elle se rapprocha de moi et, prenant dans chaque main l'élastique de mon caleçon, elle le fit descendre sur mes cuisses pour que je puisse lui présenter sans entrave, les deux globes musclés de mon fessier encore non meurtri.

Ce premier contact de ses doigts entrain de me mettre les fesses à l'air, provoqua en moi une érection inattendue que je pus heureusement lui dissimuler facilement. Comme pour me tester, elle se mit à faire tournoyer dans le vide les lanières du martinet. le sifflement de la rotation du cuir sifflait à mes oreilles, annonciateur d'un départ imminent des hostilités.

Les premières séries de cinq coups ne me firent pas mal. Les lanières semblaient larges ce qui atténuait sensiblement la morsure sur ma peau fragile. Mais Tichka, ne semblait pas pressée de me rougir l'arrière train, elle me testait, j'en étais certain.

Dans ma tête je me mis à compter les séries de cinq, afin moi aussi d'appréhender ma résistance que jusqu'à présent je n'avais jamais pu réellement tester. A la dixième série, la chaleur commença à envahir tout mon arrière train.

Après un bref intermède,Tichka s'était positionnée sur le coté du lit et reprit de plus belle une nouvelle série. les lanières frappaient en travers les deux fesses en même temps et je commençais à avoir du mal à rester silencieux. Je serrais les dents pour bien lui montrer que j'allais pas lui laisser le plaisir de capituler dés la première fessée.

A partir de 90, Tichka se mit à compter à haute voie, le sifflement des lanières rythmait sa voix aux accents slaves. Au centième coup de martinet, elle stoppa sa punition.

  • Félicitations, je pense que nous allons bien nous amuser tous les deux, car tu me semble capable d'en supporter un peu plus. Pendant que je prépare le matériel, tu vas rester dans cette position, ça te reposera un peu l'arrière train.

Le message était clair: Interdiction de bouger. La tête toujours enfoncée dans le confortable coussin, les bras repliés sur le torse pour me caler, je respectais scrupuleusement sa demande.

  • Ne bouge pas, je prends quelques photos pour mon album personnel.

Le bruit caractéristique de l'obturateur, se fit entendre à trois reprise, puis la porte claqua. Il me fallait maintenant apprendre à patienter dans cette position indécente et provocante. Mes fesses devaient être zébrées de rouges, mais comme je ne pouvais les voir, je devais me contenter de les imaginer.

La porte claqua de nouveau. Tichka revenait, bien décidée à continuer l'exploration de mon coefficient de résistance.

  • Lève toi et met toi face à moi.

Je m'exécutais. En me relevant, je passais machinalement mes mains sur mes fesses et constatais que de longues lignes boursouflées en recouvraient une bonne partie. J'espérais intérieurement que ces traces allaient vite disparaître car sinon j'aurais un mal fou à en justifier la provenance.

Une fois debout, nu devant elle, les mains collés maladroitement le long du corps, je baissais machinalement la tête pour voir les intentions de Tichka.

Une main passa sous mon sexe et dégagea dans le même geste mes testicules, les tirant légèrement vers le haut. De l'autre main, elle venait de passer autour de ma verge une corde dont l'extrémité n'était autre qu'un noeud coulant. Une fois la corde passée sous mes bourses, elle tira la corde vers le bas pour resserrer le noeud coulant afin de m'emprisonner en même temps,la verge et les testicules.

Je dois aller faire quelques courses. Pendant ce temps tu vas m'attendre bien gentiment.

Prenant en main un rouleau d'adhésif, elle me scotcha en quelques tours les mais dans le dos, puis elle passa la corde entre mes jambes pour la faire ressortir dans mon dos,derrière mes fesses.

  • Suis moi.

Quelques pas dans le couloir de son appartement et dans la minute qui suivit, je me retrouvais dans sa cuisine ultra moderne, plaqué contre la porte en bois massif.

Tichka,prit le bout de la corde qui traînait par terre et le fit passer au dessus de la porte entre ouverte. Passant de l'autre coté de la porte, elle tendit la corde de façon à me faire tenir sur la pointe des pieds. Les mains attachées dans le dos, il m'était impossible de résister et si je voulais ne pas risquer de tomber en avant, il me fallait surtout ne pas bouger.

  • Tu vas rester dans cette position le temps que je revienne avec de quoi nous restaurer. Fais bien attention de ne pas partir en avant et si tu vois quelqu'un n'oublie pas de le saluer.

Je ne compris pas ce à quoi elle faisait allusion. Elle referma la porte, m'obligeant à reculer en même temps pour suivre le mouvement. Une fois la porte refermée sur la corde, j'essayais doucement de tirer la corde vers le bas en me baissant lentement. Aucun résultat, la corde était bien bloquée dans l'encadrement, je constatais avec horreur qu'il m'était impossible de la détendre et donc de poser les talons au sol. J'allais devoir attendre son retour sur la pointe des pieds en faisant bien attention de ne pas perdre l'équilibre.

J'en profitais pour observer la pièce que je n'avais absolument pas regardé pendant que tichka s'occupait de moi. La pièce était immense. Une véritable cuisine de professionnels avec tout son "nécessaire". Je faisais face à une grande baie vitrée qui illuminait naturellement la pièce. Un peu ébloui par le soleil, par bonheur, j'étais chauffé par les rayons du soleil. Je décidais de fermer les yeux pour me concentrer sur ma position qu'il allait me falloir conserver.

Au bout de quelques minutes je fus surpris par des conversations dont le volume sonore se rapprochait. Mais d'où cela pouvait il bien venir ? Je réalisais soudain que la baie vitrée donnait sur une coursive. Une porte entièrement vitrée permettait d'y accéder. Presque immédiatement, je vis passer deux femmes qui marchaient cote à cote dans la coursive. Par bonheur, elle ne tournèrent pas la tête et j'en fus quitte pour une belle frayeur. Mais mon répit fut de courte durée.

Cette coursive prenait des allures du champ de Mars. c'était maintenant une grand mère qui passait sans me voir, puis deux autres femmes d'un âge mur.

Allez donc savoir pourquoi l'une d'elle décida de s'arrêter devant la porte vitrée pour fouiller dans son sac.

Je priais le ciel qu'elle n'aient pas la mauvaise idée de jeter un coup d'oeil ans ma direction. Je les entendais parler. Incroyable, elles avaient le même accent que ma belle blonde.

  • Je vais demander à Tichka si elle n'a pas besoin de quelque chose dit celle qui fouillait dans son sac.

A la fin de sa phrase, elle posa la main sur la poignée de la porte et comble d'horreur et d'humiliation, les deux femmes entrèrent dans la pièce l'une après l'autre en découvrant, plaqué nu contre la porte un jeune homme, les mains liées dans le dos, sur la pointe des pieds, le sexe retenu par une corde. Deux grands éclats de rire ponctuèrent leur entrée dans la pièce.

  • Ça y est. Elle recommence encore avec ses phantasmes de soumissions. Mais celui là, il est un peu mieux que les derniers.

Au comble de l'humiliation devant ces deux inconnues qui me détaillaient de la tête au pieds, je compris qu'elles se connaissaient intimement et qu'à n'en pas douter, elle devaient aussi partager les mêmes passions. Elles continuaient à me détailler. L'une des deux s'avança vers moi et chose incroyable, elle se mit à me caresser le visage et la joue avec une douceur extrême.

  • Désolé, on ne savait pas que tu étais là. Tichka a du sortir pour que tu sois là tout seul. Repose toi bien nous reviendrons la voir plus tard.

En signe d'au revoir, elle dirigeât sa main vers mon sexe et le prit entre ses doigts, commençant une lente caresse destinée à provoquer une rapide érection de ma part. En quelques secondes, le résultat fut à la hauteur de ses espérances. Ma verge tendue à l'extrême pointait en direction du plafond. Me laissant dans cet état d'excitation avancé, les deux femmes se retournèrent et continuant à bavarder comme si de rien n'était, elles quittèrent la pièce.

Je me retrouvais à nouveau seul dans la cuisine priant de toutes mes f o r c e s que plus personne ne passe ans cette coursive tant que Tichka ne serait pas revenue.

Le temps me paraissait interminable, et j'avais de plus en plus de mal à rester sur la pointe des pieds. Pour me soulager un peu, je levais une jambe après l'autre pour éviter la venue de crampes ou de fourmis.

Autant vous avouer tout de suite que mon érection n'était pas restée très longtemps vivace.

Au moment ou je m'y attendais le moins, la porte me poussa en avant et je dus sautiller d'un pied à l'autre pour laisser le passage à Tichka.

  • Bien, tu as été sage pendant mon absence ? Je vais te détacher pour que tu puisses te dégourdir un peu. Après nous rejoindrons le donjon que tu ne connais pas encore. La journée ne fait que commencer. mais avant de rejoindre le donjon, nous allons passer un petit moment sur la terrasse pour te préparer convenablement. Il faut que tu sois propre de fond en comble pour la visite de mes amies. Seul un véritable lavage en profondeur est envisageable.

Ne comprenant pas bien à quoi elle faisait allusion. Me tirant par la corde toujours attachée à mon sexe, je la suivis à travers les couloirs qui se succédaient, pour finir au pied d'un escalier en colimaçon. Son appartement qui était en fait un immense duplex. Je n'aurais jamais imaginé qu'elle habite seule dans un appartement aussi grand. Le loyer devait lui coûter une petite fortune !!!

Elle passa devant moi, continuant à tendre la corde pour m'inviter à la suivre. Les bras toujours attaché dans le dos, je faisais attention de ne pas trébucher en montant une à une les marches en bois qui craquaient par endroits sous le poids de nos deux corps.

Une fois arrivée en haut, un grand salon moderne s'ouvrait sur une magnifique baie vitrée. Je découvris une superbe terrasse qui surplombait presque tous les toits des maisons voisines. Sur ma gauche la terrasse d'un autre appartement. Une petite palissade en bois séparait les deux terrasses, mais il était plus que certain qu'une personne se tenant debout pouvait voir ce qui se passait de l'autre coté.

Avant de me faire mettre à genoux, elle me détacha les bras et ôta le noeud coulant qui m'enserrait la verge et les bourses depuis trop longtemps à mon goût.

  • Met toi à quatre pattes bien au milieu de la terrasse, il va falloir que je te prépare. Laisse toi faire sinon il t'en cuira ou comme je te l'ai déjà dit, on s'arrêtera là.

Une fois à quatre pattes, je sentis Tichaka se rapprocher de moi. Elle se positionna entre mes cuisses et commença à introduire son index dans mon anus.

  • Il faut que je prépare le passage, ne bouge pas.

Incapable de me rebeller, je me laissais faire de peur qu'elle mette à exécution ses menaces. Son doigt fouillait et écartait maintenant mon anus à un rythme soutenu.

Pendant plusieurs minutes elle fit en sorte de distendre le plus possible mes sphincters.

J'avais beau serrer les fesses le plus possible, son doigt continuait sans faiblir à me "travailler" l'anus. Au bout d'un long intermède, elle me dit:

  • Te voila prêt à recevoir un bon petit lavement. Reste sagement en place je vais préparer le matériel.

Frissonnant de peur et aussi parce que j'étais totalement nu, en plein air sur cette terrasse ou par bonheur le soleil réchauffait le carrelage du sol, j'allais devoir subir un véritable outrage à ma virginité anale.

Tichka, s'agenouilla entre mes jambes qu'elle me demanda d'écarter un peu plus. J'obéissais, lui laissant voir les parties les plus intimes de mon anatomie. Ma verge et mes testicules lui pendait maintenant sous le nez.

Je sentis soudain le contact dur et rêche d'un corps étranger qui f o r ç a i t le passage de mes fesses. Tichka m'introduisait dans le derrière, le tuyau d'arrosage de sa terrasse. Par pur réflexe, mes sphincters se contractèrent, mais sans pouvoir arrêter la marche en avant du petit serpent de caoutchouc. Elle poussait en moi le tuyau souple et lorsqu'elle jugea qu'il était suffisamment entré en moi elle me dit:

  • C'est maintenant le moment de serrer les fesses, car il va falloir que tu le gardes en toi tant que je le dirais. Je vais aller ouvrir l'eau.

Elle se leva et se dirigeât vers le robinet d'arrivée d'eau. Pour éviter que le tuyau ne ressorte d'un coup sous la pression elle l'avait coincé sous mon genoux gauche. D'un geste rapide et précis elle venait simplement d'entre ouvrir le débit d'eau. Je sentis de l'air pénétrer en moi, puis presque tout de suite un filet d'eau froide couler au fond de mon ventre A ce rythme te cette pression, le tuyau ne risquait pas de sortir de mes fesses. Le remplissage continuait lentement sous la surveillance de Tichka qui faisait en sorte de régler à sa guise le débit de l'eau.

Je commençais à avoir du mal à ne pas relâcher se liquide qui remplissait maintenant intégralement mon rectum. C'est en fait ce que Tichka avait en tête. L'eau commençait à couler entre mes cuisses, accomplissant son travail de lavage interne. Par chance, j'avais été plusieurs fois au wc avant de venir rejoindre Tichka.

Tichka venait d'augmenter la pression d'eau et ce qui était depuis le début un léger filet d'eau fraîche entre mes cuisses, se transformait maintenant en un flot important et régulier. Mon ventre étant rempli à l'extrême, toute la quantité d' eau qui m'arrivait dans le rectum ressortait au même rythme.

Obligé de subir ce lavement qui n'en finissait pas de me nettoyer le ventre, je gardais la position demandée. Des bruits provenant de la terrasse d'à coté attirèrent mon attention. Je relevais la tête discrètement pour voir ce qui se passait.

Face à moi, accoudées à la séparation en bois, les deux femmes qui m'avaient découvert dans la cuisine me regardaient tout en discutant le plus naturellement du monde. Je ne pus continuer à les regarder dans les yeux, tout honteux de me montrer à elle dans cette position des plus humiliante.

Au bout d'un bon quart d'heure de discussion entre les trois filles, Tichka arrêta le débit de l'eau. Elle s'approcha de moi tout en disant aux deux filles.

  • Venez me rejoindre au donjon, je le sèche et on arrive, vous pouvez préparer le matériel.

Je venais de réaliser que les trois filles se connaissaient et visiblement partageaient les mêmes plaisirs sexuels. Tirant en arrière avec délicatesse le tuyau de mes fesses,elle me libéra de ce pal souple. les dernières gouttes s'échappaient de mes fesses avec des bruits que j'avais du mal à contenir devant elle.

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